dimanche, février 26, 2006

Eternel retour

Le Dimanche est absurde; le célibat impose souvent son écoulement au passé. Et si ces évênements revenaient, si le temps n'était que cette boucle finalement.

Le Dimanche est psychologique et se vit comme tel, alors les occupations sont nécessaires pour le refuter, fermer les yeux en s'activant est encore la meilleure solution pour ne rien constater.

Le Dimanche, moi, j'achète des plantes vertes.

J'imagine tout ce que je peux faire d'un jour fermé sur le monde mais trop ouvert sur moi, et moi seul, alors je n'en fais rien.
Les polices et les voix changent, les couleurs, les fenêtres se démèlent, l'écran brille parfois. Reminiscence. Il scintille surtout, bacchanale...

Il y a une fille qui quelque part peut faire bander mon cerveau, en attendant il se branle tout seul en pensant à toutes les autres.