mardi, juillet 25, 2006

Le gros bonnet, une autre et elle.

Une longue journée et la preuve de la nocivité des extrêmes.
Je passe 10h en compagnie d’une blonde victime d’hypertrophie mammaire.

A en être trop gâté, on en devient confiné.
Coupable d’une peine sans maîtrise : les laisser aller là, sans contrôle aucun, sur le bord des tables et du désir.
Alors les coutures se tendent et le coton imite des vergetures flanchant déjà là, et puis là, bientôt là aussi. Et la ptôse règne dans les lobes et les lobules.
Entre la troisième et la cinquième côte, mes yeux et des glandes. Impitoyablement aspirés.

Impossible d’en tourner le regard, celle là qui boit son coca light a passé une journée sans tête. Ses yeux sont bleus ou marrons, probablement.


Ce soir, un appel filtré, Assia, comme hier déjà.

Cette jeune femme s’ennuie. Métisse délicatement aguichante.
Elle prenait ma bite en main il y a un an, là comme ça, quelques minutes entre amis d’amis, et se présenter surtout.
Un second appel ce soir. Un deuxième refus, et une excuse de trop.
Elle n’appellera plus, sera certainement indisponible si je change d’avis. Juste parce qu’il le faut.
Quelle drôle de sensation de dire non.



Aujourd’hui, j’ai entendu une voix vers 14h, sans grain de sable aucun. C'est ainsi.