samedi, juillet 22, 2006

Vendredi, la vie sage

Une soirée devant une brochette de cailles au réglisse et 3 jolies blondes rôties aux uv.
Formatées, sponsorisées, empaquetées comme un plat Tricatel et ces culs comme du plastique, un trio de chattes pourtant propres et dépoilées, sans autre label que celui qu’un pathétisme affligeant.

Là, même l’alcool n’arrange rien, là, le vide quantique a bien une énergie.
Le point zéro devant un Tariquet doux, l'apoplexie.

Retour chez moi.


Depuis la fenêtre de ma chambre, des filles rigolent sur un balcon, une soirée, un mec drôle bien parti pour en baiser au moins une. Peut être une autre la soirée prochaine.
Entre 4 ou 5 rires, des nuances subtiles, des regards accompagnés, du touchage et du lissage de cheveux.
Derrière un rire deux jambes s’écartent délicatement, à chaque blague, chaque anecdote, chaque répartie, celui là se rapproche du but. Un but qui n’a pas de prix.
Nous sommes au moins 3 à le savoir ce soir.