lundi, juin 04, 2007

L'incontinent des comptines

La semaine commence dans la bonne humeur, soleil et forme.

Je trimballe certaines casserolles chouinantes, de celles qu'on emmène à l'école en prenant par la main, comprenant étrangement sur le tard que leur propre moteur est également le mien.

La tragédie d'une comptine et sa valse morose, sans exclusion, ou d'aucuns ne tombent rarement pour d'autres maux que la surévaluation primaire.
Après la jolie soirée de Samedi, décidément toujours autant appréciée, le déjeuner russe de dimanche parut une interminable besogne.