mercredi, mai 30, 2007

Jugée coupable

Je reprends goût à une activité plus rapide en arrêtant l'Atarax 100 qui me laisse trop léthargique depuis quelques jours. Je retrouve donc le rhum et des épisodes masturbatoires rapprochés ponctués d'envies sexuelles spontanées, plutôt rares ces derniers temps.

Anna me demande s'il ne serait pas bien d'enlever ses chaussures en rentrant, regarde "Attention à la marche" et trouve jolies les Méganes coupé-cabriolet. La sentence est lourde. La rentabilité du long travail mené ne sera finalement que sexuelle dans l'intimité, couplée à une projection de l'image et de son reflet dans le monde social. La peine est douloureuse, mais surmontable.

Je passe le reste de mon temps à comparer la stupidité tenace de certaines le temps d'un verre, attendant le sempiternel prince charmant, ou pire, l'ayant trouvé.

Il semble y avoir une régression féminine stupéfiante passée ou frôlant la trentaine, et si elle apparait d'abord vestimentaire, elle est rapidement complétée d'une rhétorique désuette et désastreuse à base d'indépendance et de rêveries médiocres, de pauvres enchêvetrements de mythes qui terminent généralement par des connexions Meetic quotidiennes.

Il reste Stéphanie, étrangement différente, avec qui je passe un très bon moment. J'aimerais la voir plus souvent.