jeudi, janvier 26, 2006

J + 1

Elle est venue, délicate, sans marcher...
24h à redécouvrir ce que tendresse veut dire, tourments profonds, qui croire, moi ou moi.
L'image et l'instant sont gravés désormais. Merci pour cette belle cicatrice.


Tout s'emballe et s'accélère, manque de temps, on ne peut plus lire, on ne peut plus boire, même travailler me surmène. Je rate beaucoup de Benny Hill ces jours ci.
Qu'est ce qui se passe, y aurait-il une transition possible, non, non.
Quand tout se mélange, mon cerveau est un daïquiri, une pinacolada trop froide, je crois que ma bite est molle, il faut qu'on se parle. Il faut que je parle. Il est sacrément bien taillé ce costume Kenzo.

Statistiques de honte ultime, moi devant 600 personnes, Mardi 16h30, Nice.

600 collaborateurs, 450 femmes.

450 femmes entre 20 et 35 ans, donc toutes potentiellement baisables.
450, largement embauchées pour leur physique agréable privilégiant un relationnel certain.

450, 225 de banalement pas terrible.
225, 100 de mignonnes.
100, 30 de célibataires, certainement beaucoup plus, et dans tous les cas, à des centaines de kilomètres de leur queue régulière.
Disons que le succès est possible, par un court moment de starification, ou d'un costume Kenzo, sinon de moi avec 20% d'entre elles.

Pendant cette semaine, je peux avoir accès à 6 filles franchement mignonnes, sans le moindre problème.
Daiquiri, Pinacolada, que la force soit avec moi.