lundi, septembre 01, 2008

Et pourtant

Et pourtant, il n'y a aucun répit, il faut que je déverse mes regards ailleurs, dès le corps le plus insignifiant. Je suis un putain d'animal à éjaculer.

Il faut que je touche, que je renifle, que j'attrape, que je suive. Et sentir les désirs monter des groupes. Autour des tables mixtes, cette odeur d'orgie latente en permanence, simplement inexpressive et frustrée par la bienséance. Ou la femme ne cherche plus le physique mais bien le chef, le charisme, absolument primaire fut elle à l'ancienne.
De la plus jeune, armée au physique, au temps qui passe et ses relents d'érotisme, je suis maculé d'envie.