Qui est en première base, qui
Entrer dans une vie, quelque soit la manière, ou écouter la raconter.
Je suis un clitoridien pénétré encore et encore par des reliquats d'intérets anecdotiques.
Rapidement, on me raconte, on me détaille, on me développe. Rapidement on se cloisonne. Parce qu'un mur ne suffit pas, il en faut construire d'autres pour qu'enfin la rencontre se fasse dans une sorte de cadre. La faute au temps, forcément. La faute à moi, surtout.
Au delà de 80km/h en courbe, on perd rapidement le contrôle d'une Mégane dci; il en est de même avec la plupart des femmes françaises de mon âge au fil des semaines.
Oser imaginer supporter ce mouvement rapide et permanent restera sans doute une douce illusion. Rouler entre les névroses avec la mienne : pulvériser encore et encore ces semblants de puzzles, sans incidence.
Arriver dans ces multiplications d'histoires, d'enfances, de salaires, de silhouettes, de voix et de chattes. Constater l'ampleur des dégats passés, et l'incapacité d'intéragir, juste prôner cette soumission aux traits, aux comportements, cette acceptation de l'autre pour y voir un peu de soi, suffisamment pour s'assoir un moment, et tenter l'échange. Une trocante.
Il n'y a plus de remise en question depuis que les questions sont mortes, c'est sans doute le problème.
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