mardi, septembre 09, 2008

Cette année là, aujourd'hui

J'ai eu beaucoup de chance. On ne recroise pas une copine de baise au bon moment.

Celle là était partie à Paris il y a 4 ans, avec sa gamine et un mannequin métisse accroché à son compte en banque. Celle là avait déjà deux doigts dans la chatte que je n'étais pas assis sur son lit, cette année là.

Je me souviens de sa bouche; cet ovale entrouvert en permanence, sans dire un mot, façon poupée gonflable, un trou entouré de lèvres larges, charnues, toujours humides, adorant affirmer sans jamais poser de questions.
Je me souviens surtout de ses yeux verts et de ses gros seins aux mamelons noirâtres, de ceux qui, moulés ou mis en avant, insistent pour raccourcir la durée des diners tant cette brune sans frange transpire le cul, le revendique et tout à l'heure encore surprise, me tend sa nouvelle carte l'oeil luisant dans son "appelle moi".

Une fille de caractère, élévé avec ses frères dont elle a la voix, qui fait ses créneaux certainement d'une main comme elle suce sans à s'en éclater la luette. Celle là avait vers 11h45 une robe rouge la rendant glamour, vulgaire, exagérément bandante, absolument adéquate.

Pour premier rendez vous, je ne sais pas pourquoi nous étions allés dans un cinéma, cette année là, mais son "on y va j'ai envie que tu me baises" au milieu de la séance n'est plus si loin aujourd'hui.
Rappeller et observer l'évolution de Laure aux mamelons noirs.